LA LÂCHETÉ ÇA SUFFIT !

 

Je ne sais pas si le mot est de Jacques Chirac, mais pour la connaissance

 que j’ai eu de cet homme, disons que ce genre de remarque pouvait lui ressembler.


La vie est un combat et comme disait Victor Hugo, « ceux qui vivent ce sont ceux qui luttent ». Cette société a transformé trop de gens en assistés, en moutons suiveurs qui se laissent impressionner par les beaux parleurs et les gros bras à telle enseigne que les assassins et les criminels deviennent des vedettes. Les causes les plus ignobles séduisent et trouvent toujours des « défenseurs des droits » pour les excuser ! Quelle honte !

Un exemple

Dans les années 1980, j’ai connu à Paris 14ème la salle d’entraînement de boxe américaine de Dominique VALÉRA avec son célèbre co-équipier Youcef ZÉNAF. Avec ces deux champions, nous étions à l’école du courage et du culte de l’effort.

 



       

Je n’ai pas oublié cette époque et mes enfants ont été très tôt inscrits dans des clubs de « full contact » du département. Ainsi, face au harcèlement à l’école peu ou mal combattu par les responsables d’établissements, ils ont donc su répliquer pour se faire respecter, même si les CPE en poste n’ont pas manqué de me convoquer chaque fois pour me servir le couplet habituel du « Nul ne peut se faire justice soi-même ». Ce à quoi j’avais répliqué - à leur grand dam - la phrase citée par mon grand-père en 1918 « il vaut mieux faire le boucher que le veau ».

Ma conclusion

Par-delà toute idéologie politique ou religieuse, le problème que nous rencontrons aujourd’hui, de l’avis même des gens de ma génération et des familles originaires tant de France que d’Afrique du Nord (qui savaient ce que vivre ensemble avec nos différences veut dire), tient au manque d’éducation et de civisme d’une génération qui ne reconnait plus au-dessus d’elle l’autorité de la famille et de l’État. La plupart des agressions et actes terroristes sont le fait d’individus qui se sentent tout puissants dans un système où règne l’impunité et la permissivité, où les procédures s’enlisent, ou trop de lois tue la loi, où le courage de nos résistants et autres Jean Moulin sous l’occupation a été remplacé par des collabos qui vérolent notre république et nos valeurs pour lesquelles tant de citoyens ont donné leur vie !

Si nous ne nous faisons pas respecter aujourd’hui nous disparaîtrons et notre démocratie avec. Mais pour ma part je me battrai jusqu’à mon dernier souffle.


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