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Affichage des articles du septembre, 2024

INCOMPÉTENCE - DÉBROUILLE TOI TOUT SEUL TU SERAS MIEUX SERVI

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  Les exemples d’incompétences (ou d’idiotie) qui suivent ne sont pas des blagues et c’est bien triste. Dans n’importe quel corps de métier, on ne peut plus faire confiance comme autrefois à nos interlocuteurs. Il nous faut souvent leur répéter plusieurs fois ce que nous cherchons ou poser notre question de trente-six façons différentes pour n’obtenir finalement qu’une réponse médiocre, hors sujet ou idiote. Exemple 1  : Je dois réparer la face extérieure d’un mur qui présente des fissures dans son revêtement. Je procède donc à l’élargissement de ces fissures sur une profondeur allant de 1,5 centimètres à 5 millimètres selon les dégâts pour reboucher le tout ensuite avec un enduit approprié. N’ayant pas l’enduit en réserve, je me rends donc dans la grande surface de la ZI près de chez moi à la recherche de ce produit de rebouchage et je trouve facilement dans les rayons ce qui semble convenir. Par précaution je me risque à interroger le vendeur sur l’opportunité de mon choix...

LE SCANDALE DE LA BRODERIE « CANNETILLE » IL Y A 40 ANS

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  Dans les années 1985, un homme de l’art m’avait raconté que les broderies (or et argent) de certains vêtements étaient en principe confectionnées dans la Loire, selon la technique dite de la cannetille, apparue au 16 ème siècle. On parlait ainsi de ces brodeuses qui travaillaient patiemment, l’aiguille à la main pour réaliser de beaux ouvrages représentant toutes sortes de choses et souvent des feuilles.       Bien-sûr, ces ouvrages avaient un coût et certains s’étaient alors risqués à instaurer plutôt le principe des broderies mécaniques beaucoup moins onéreuses. Mais la tradition avait la vie dure !   L’envers du décor était moins reluisant.   Il arrivait hélas que ces broderies soient en fait confectionnées au Pakistan. Elles étaient réalisées bien à l’avance sur de longues pièces de feutres ou autre, où les motifs se répétaient plusieurs fois selon qu’il s’agissait de bandes de pantalons, de pattes d’épaules, de bandeaux de coiffure, d’écu...

QUE CELUI QUI N’A JAMAIS PÉCHÉ…

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Bien qu’étant athée, dans mes années de soixante-huitard et sur les conseils de mon professeur de philosophie, j’avais souvent pris le temps de consulter les Textes Saints, même si, les étudiants paresseux que nous étions avaient quelques réticences vis-à-vis de ces lectures…Ainsi, j’ai trouvé dans les religions « du livre », des leçons de vie très intéressantes et je pense que l’une des plus importantes est la scène de la femme adultère dans l’Évangile selon Saint-Jean  : « Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette le premier une pierre ! » Dans ce pays où nombre de gens passent leur temps à juger les fautes des autres tels des procureurs qui rendent la justice, cette scène est plus que jamais d’actualité. C’est par exemple la voiture qui arrive sur ma droite tellement vite que j’ai juste le temps de freiner pour la laisser passer, tandis que son conducteur baisse sa vitre pour me hurler des insultes ; ce qui ne l’empêche pas, cent mètres plus loin, au passag...

RAS-LE-BOL DES PROPOSITIONS COQUINES SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX

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  Vous êtes un homme âgé et père de famille et vous travaillez dur pour mettre en forme un texte (Post) sur un sujet plus ou moins difficile qui vous tient à cœur et vous le publiez sur tel ou tel réseau social. Vous espérez bien sûr que ce post suscitera quelque intérêt auprès des visiteurs de vos pages. Mais là, surprise, peu ou pas de réactions immédiates. Par contre, des demandes "d’amies" qui chaque jour s’allongent ! Seulement vous vous apercevez que ces demandes d’amies ne concernent pas une réflexion sur le sujet abordé mais tout autre chose. En effet, selon le cas, vous aurez pas mal de surprises :   Premier cas  : Vous vous rendez sur la page de la personne en question, vous constatez que ses centres d’intérêts n’ont rien à voir avec votre Post mais plutôt la mise en valeur de son corps dans des positions très suggestives ne laissant aucun doute sur leur finalité. Classement sans suite pour moi.   Deuxième cas  : Vous ne constatez rien de spé...